Armelle Giffard
A rmelle Giffard fut mariée à un négociant en vin venu de Perpignan, Victor Lebas, le 10 Août 1910, dans l'église Saint-Armel de Ploërmel (Bretagne, ancien évêché de Saint-Malo). Ils vivaient et tenaient commerce dans une maison qui donnait à la fois sur la rue et la place du Jeu de Paume. Cette maison existe toujours, au fond de la place, style XVIIIe siècle, avec une grande terrasse. Le Jeu de Paume fut aménagé au pied des remparts, au Moyen-Age.
Voici le texte de l'acte de naissance d'Armelle Giffard:
" L'an mil huit cent quatre vingt deux, le vingt sept février, neuf heures du matin. Par devant nous Pierre-marie Dinel, Maire (...), a comparu monsieur Auguste félix Giffard, marchand de tissus, demeurant Place de l'union de cette ville; lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin, né le jour d'hier, à dix heures et demie du matin, de dame Marie Macé de la Rabinais, son épouse, aussi marchande de tissus, âgée de vingt deux ans, demeurant avec lui, auquel enfant il a déclaré donner les prénoms de Armelle – Félicie – Delphine – Magdeleine. Les dites déclaration et présentation faites en présence de messieurs françois Goupil, docteur médecin, âgé de cinquante six ans; Pierre Coulloch, pharmacien, âgé de trente ans, oncle par alliance de l'enfant, tous les deux domiciliés de cette ville."
Armelle est de la 5e génération après notre ailleul Jean Baptiste André Macé de la Rabinais, qui figure en bas de l'arbre généalogique 
gwezenn . Cet arbre généalogique est à compléter en amont, avec au moins :
- père de Jean André: André, sieur de la Rabinais, né en 1672 à Pleurtuit et marchand à Saint-Malo;
- le frère de Jean André: Jean François, né en 1703 à Rennes, paroisse de Saint-Sauveur;
- les grands-parents de Jean André: Jacques Macé, sieur de Puits, de Pleurtuit (en face de Saint-Malo; est-ce un frère à Claude Macé, sieur de la Gravelays et fils d'Yves Macé, procureur au Parlement de Bretagne?) et julienne Lucas, née à Pleurtuit en 1643).