Macé De La Rabinais Armand Theodore

Publié le par Mazhevig

     Un beau jour, sur internet, Steven a trouvé ces quelques lignes:


" Mace De La Rabinais Armand Theodore
Né le 20/10/1798 à St-Renan
figurant dans:
Ordonnances, donations et lettres patentes 1800-1830
Source : Bulletin des Lois "

 

    Nous ne savions pas alors que nous ayons eu de la famille dans le Léon, pays traditionnel au nord-est de la Bretagne, entre Brest et Morlaix...
... ce fut là l'embryon de nouvelles découvertes sur la généalogie de la famille: notre cousin Gaston Riallant, décédé cette année 2009, me mit aussi la puce à l'oreille en m'écrivant que nous devions faire un petit effort pour creuser du côté de Saint-Pol-de-Léon, à quelques 150 kilomètres du territoire traditionnellement admis des Macé de la Rabinais (en gros: Rennes et Saint-Malo). Et puis, Steven, un peu plus tard, essaya de me pousser d'avantage dans cette direction, sachant que je ne réside pas très loin de Kemper / Quimper, la capitale de la Kernéo / Cornouaille, où se trouve le Centre d’archives du département français n°29, département où se virent englobées toutes les paroisses et communes du Léon "(et quelques unes du Trégor), parmi lesquelles Steven supposait que sa cachaient quelques uns de nos ancêtres.
     Je ne tardai pas à consulter ces archives et commençai mes investigations du côté de la paroisse de Lokournan / Saint-Renan, d'après les quelques informations récoltées sur internet: gagné! Mes vénérés cousins avaient eu du flair: j'y ai retrouvé effectivement la trace des Macé de la Rabinais, en commençant par Paul Alexandre Macé de la Rabinais, qui figure sur notre arbre généalogique mais sans plus de précision; puis j'ai trouvé quelques uns de ses enfants, dont Armand Théodore qui donne son titre à cet article du blog. Lokournan se trouve près de Brest et fut le siège d'une importante juridiction Ducale, puis royale.
     Mais quelques semaines plus tard, toujours plongé dans les archives de Quimper, j'ai dû parer de babord dans les cahiers paroissiaux et mettre le cap à l'Est: c'est à l'autre bout du Léon que je retrouvai la même famille, installée quelques années plus tard à Saint-Pol-de-Léon.

Moris Macé1733
     En même temps, j'ai fait la connaissance d'autres Macé, sans la particule cette fois, et d'après leur profil très ressemblant, je me suis dit qu'il fallait que j'en profite pour noter soigneusement tout ce qui les concernait de près ou de loin, en attendant d'établir le lien formel et indubitable qui lierait ces Macé tout court aux Macé de la Rabinais. Sachons que le fait de l'absence de la particule chez ces Macé n'a rien de contradictoire, car l'anoblissement français ayant été opéré à la fin du XVIIe siècle, les Macé d'avant les lettres patentes ne s'appelaient pas "de la Rabinais".

 

eured / mariage de Paul Joseph Alexandre Macé de la Rabinais

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